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Old 06-14-2011, 11:00 PM   #1
shuchun1481
 
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tod's homme soldes8oJptod's chaussures femme-Une intervention en Syrie aurait

D'autre part, les premières manifestations, il y a près de quarante jours maintenant, se sont cristallisées dans le sud de la Syrie, autour de Deraa. Un des enjeux pour le pouvoir syrien, au début de ces mouvements de contestation, c'était d'essayer que le mouvement ne s'étende pas à travers tout le pays. Donc de circonscrire la contestation dans le Sud. Il a échoué, car désormais le mouvement de contestation touche toutes les régions de la Syrie et toutes les grandes villes.

Didier Billion : Tout à fait,todsTods Bootschaussures tod, c'est d'ailleurs un des paramètres les plus importants pour comprendre les hésitations des grandes puissances, vu l'évolution de la situation en Syrie. Les inquiétudes aussi de ces puissances,todstods loaferstods, car la mise en ?uvre de sanctions à l'encontre de la Syrie, voire d'une intervention militaire contre elle, aurait des effets dévastateurs pour toute la région. C'est pourquoi les grandes puissances font preuve d'une très grande prudence quant à la condamnation, et surtout quant à la mise en ?uvre de sanctions contre la Syrie, car celle-ci, d'un point de vue géostratégique,tods bag, a une importance centrale pour toute la région.

Didier Billion : Sur la répression de Hama en 1982, la France n'a pas dit grand-chose parce que la répression s'est abattue brutalement � vingt mille morts � contre les Frères musulmans. Or la France considérait qu'il valait mieux fermer les yeux sur le massacre plut?t que de soutenir les Frères musulmans. Quant à la réception en grande pompe de Bachar Al-Assad en 2008, ce n'est pas un obstacle à ce que la France et M. Sarkozy en l'occurrence puissent modifier radicalement sa position. Il l'a fait avec Kadhafi, qu'il avait re?u tout autant en grande pompe. Il n'empêche que la guerre aujourd'hui en Libye est principalement menée par la France. Donc M. Sarkozy peut faire d'autres volte-face. Mais je crois qu'il ne le fera pas à propos de la Syrie. Cela renvoie à la première question posée, et ainsi la boucle est bouclée.

En revanche � et c'est très important �, il y a les puissances régionales, des Etats de la région,tods Womanjvc tod converterjvc tod converter, qui ont des contacts avec une partie de ceux qui contestent le régime. Nous avons une série d'informations qui nous font penser que par exemple des extrémistes sunnites, des salafistes, sont assez actifs dans le mouvement de contestation actuel. Or, visiblement, ces salafistes sont au moins aidés par des pays comme l'Arabie saoudite, voire par certaines familles politiques libanaises. Cela signifie que, pour ce qui concerne le régime saoudien, et pour certaines familles politiques libanaises, il y a des contacts avec des opposants de l'intérieur. Donc quand je dis cela, évidemment, je n'ai pas du tout une vision complotiste de la situation. Je pense que les dizaines de milliers de Syriens qui descendent dans la rue, c'est pour acquérir leur liberté, c'est pour gagner le droit d'exercer les droits démocratiques. Il n'empêche que certains ont des intentions probablement moins louables et mettent de l'huile sur le feu, essaient de radicaliser le mouvement. Ceux-là, probablement, n'agissent pas de fa?on indépendante, mais en liaison avec certains Etats ou familles politiques dans la région qui ont intérêt à voir le régime syrien chuter.

Pour ma part, je n'ai jamais été séduit par cette thèse. Et nous en avons tragiquement la preuve en Libye, à Bahre?n et en Syrie. Donc ce que l'on peut dire, c'est qu'il y a une très profonde onde de choc dans toute la région, pour les raisons sociales et politiques que nous avons évoquées, mais qu'il serait complètement illusoire de considérer que les régimes vont tomber les uns après les autres. On ne peut donc pas transposer les situations tunisienne et égyptienne aux autres pays. D'ailleurs, la situation tunisienne n'est elle-même pas réductible à la situation égyptienne.

"Une intervention en Syrie aurait des effets dévastateurs pour toute la région"

L'intégralité du débat avec Didier Billion, directeur des publications à l'Institut de relations internationales et stratégiques, spécialiste du Proche-Orient, mercredi 27 avril 2011

Romaindu26 : La Turquie ne pourrait-elle pas se montrer plus exigeante qu'elle l'a été jusqu'alors avec le régime d'Al-Assad ? Si elle parvenait à convaincre le régime de mettre fin à la répression, ne serait-ce pas un coup de force de sa part et un formidable atout en vue d'intégrer l'UE ?

Troisième élément : sur les contacts. Je ne crois pas que les puissances occidentales aient beaucoup de contacts parmi les contestataires du régime syrien qui se trouvent en Syrie. La question est juste, car si contact il y a, c'est plut?t avec des exilés, avec des opposants qui ne vivent plus en Syrie. Pour certains d'entre eux,tods on line, depuis de nombreuses années. Qui n'ont donc plus eux-mêmes beaucoup de contacts structurés avec des opposants de l'intérieur.

Romaindu26 : Compte tenu de la dispersion géographique des poches de résistance, est-il possible d'intervenir aujourd'hui ? Les pays occidentaux ont-ils des contacts réguliers avec les rebelles sur place et pas uniquement avec la diaspora syrienne ?

Pour ces raisons, il est évident que l'Etat d'Isra?l n'a pas un grand amour pour le régime syrien. Mais en même temps, les Israéliens considèrent que malgré toutes ces oppositions qui existent vis-à-vis de ce régime syrien, il est aussi un facteur de stabilité. Je vais le dire autrement : les Israéliens préfèrent un régime de dictature, comme celui incarné par Bachar Al-Assad, plut?t qu'une situation de chaos où plus personne ne contr?lerait plus rien, et qui pourrait laisser la porte ouverte à toutes les aventures.

Daniele Grassi : Que pensez-vous de l'attitude des Etats-Unis face à la crise syrienne ? Quelle est l'influence d'Isra?l sur cette position ?

Didier Billion : La Turquie est peut-être encore plus gênée ces derniers jours que les grandes puissances occidentales, car la Turquie est le pays de la région, à part l'Iran, qui a le plus développé les relations politiques,todshoes5kP6todshoesVincent Cassel - ? Aller à la, commerciales, économiques avec la Syrie. C'est tout à fait spectaculaire. Et le premier ministre turc Erdogan avait les meilleures relations possibles avec Bachar Al-Assad.

Didier Billion : Tout d'abord, il n'y a pas de poche de résistance à proprement parler, ni de rebelles au sens où on peut l'entendre en Libye, par exemple. Nous n'en sommes pas encore à une situation de guerre civile ni de guerre tout court. Cela peut changer très rapidement, bien s?r. Nous sommes dans une séquence politique de répression brutale, dure, meurtrière, mais pas de guerre. Donc il ne faut pas encore parler de poche de résistance ou de zone rebelle. Ce ne sont pas les termes appropriés.

Didier Billion : Non. Nous avons eu cette information. Il est évident que l'Iran soutient le régime dirigé par Bachar Al-Assad. Je ne crois pas un instant, à ce stade, que l'Iran ait envoyé une aide logistique, voire humaine, pour organiser la répression. Je crois que malheureusement le régime syrien est parfaitement capable d'organiser la répression par lui-même. Mais ce qui est clair, c'est qu'il y a un soutien politique de la part du régime iranien au régime syrien, pour une série de raisons, la principale, que nous évoquions, étant une alliance stratégique qui existe entre l'Iran et la Syrie.

Nous savons que le président Obama a demandé à la Turquie d'essayer d'infléchir la politique de répression syrienne. Pour l'instant, la Turquie n'y est pas parvenue, parce qu'il faut bien comprendre que le régime syrien joue sa survie et qu'il a choisi la voie de la répression la plus brutale. En ce sens, les demandes de la part de la Turquie ne sont que de peu de poids. Et c'est bien là, à ce stade � car les choses peuvent évoluer �, que la Turquie ne peut pas être très efficace dans cet essai de faire baisser le niveau de la répression en Syrie. Si,Tods Desert Boots, dans les semaines à venir, elle parvenait à faire baisser la tension, alors, évidemment, ce serait une preuve supplémentaire de son importance essentielle pour les équilibres au Moyen-Orient ; et si les Européens étaient intelligents, alors ils devraient prendre en compte cette donnée et considérer que la perspective de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne serait plus un avantage qu'un inconvénient. Est-ce que les dirigeants européens seront assez intelligents pour le comprendre ? Je le souhaite, mais je n'en suis pas s?r.

Mais je ne pense pas qu'on puisse considérer que la situation tunisienne ou égyptienne soit transposable ailleurs, et donc en Syrie, parce que chaque Etat, au Moyen-Orient, a ses propres spécificités, a sa propre histoire. Dans chaque pays, les rapports de forces entre la société et le pouvoir, entre la société et l'armée, entre la société et les services de renseignement, sont différents. Et en ce sens, on ne peut pas considérer que toutes les situations sont identiques. C'est d'ailleurs pour cette raison que tous ceux ou toutes celles qui, il y a deux mois, nous parlaient d'effet-dominos dans la région, c'est-à-dire qu'après le départ de Ben Ali, puis le départ de Moubarak, certains s'étaient illusionnés sur le fait que les uns après les autres, les régimes dictatoriaux et corrompus allaient tomber.

Romaindu26 : On sait que le Hezbollah libanais et l'Iran soutiennent le régime syrien ; en cas d'intervention occidentale, n'y a-t-il pas un risque de voir toute la région s'embraser ?

Daros : L'Iran joue-t-il un r?le dans la répression actuelle ?

Et n'oublions jamais que cette alliance existe depuis maintenant une trentaine d'années. Ce n'est pas récent. Elle s'est amplifiée au cours des ans,toods, et ne s'est jamais démentie. Je le répète : c'est une des raisons pour lesquelles la communauté internationale est un peu ennuyée, gênée. Car la France, les Etats-Unis principalement s'étaient fixé comme objectif de casser cette alliance stratégique entre Damas et Téhéran. Aujourd'hui, ils ne savent plus quoi faire : faut-il continuer sur la même ligne en fermant les yeux sur la répression ? Ou faut-il condamner celle-ci de fa?on plus nette qu'aujourd'hui ? Mais dans ce cas, on pousse les Syriens encore un peu plus dans les bras des Iraniens.

Arturo : La révolte et le gouvernement en Syrie sont-ils de nature différente de ceux de la Tunisie et des autres pays arabes ?

Didier Billion : Excellente question. Les raisons objectives qui nourrissent la révolte actuelle sont les mêmes qu'en Tunisie,chaussures tod's, en Egypte, en Libye, à Bahre?n, au Yémen, etc. Il y a deux types de raisons : des raisons sociales. Une meilleure justice sociale, un meilleur niveau de vie, cesser avec la corruption, endiguer le ch?mage, ce sont les aspects sociaux. Et on les retrouve dans les autres pays. Et il y a le niveau politique : revendication des droits démocratiques, liberté d'expression, liberté d'organisation, liberté de la presse, etc. On retrouve aussi ces ingrédients dans les autres pays où il y a des mouvements de contestation. Ce sont les points communs.

Paul : Pourquoi la France n'a-t-elle rien dit au moment du massacre de Hama en 1982 (répression du pouvoir syrien d'Hafez Al-Assad?contre les insurgés de la ville de Hama en février 1982, une insurrection soutenue par les Frères musulmans) ? Peut-il en être de même aujourd'hui, après que Sarkozy a invité en grande pompe Bachar Al-Assad sur les Champs-Elysées en 2008 ?

Quant à la question d'Isra?l lui-même,Buntet's social networking site 54jouerudj's blog buy tods shoes-65 tricky answer.,tod's homme soldes, c'est assez compliqué. D'un c?té, Isra?l voit la Syrie comme un opposant de toujours. Rappelons que la Syrie n'a évidemment jamais signé de traité de paix avec Isra?l. Rappelons qu'une partie du territoire syrien, le plateau du Golan, a été occupée par les Israéliens en 1967, et surtout, a été annexée par Isra?l en 1981. Donc une partie du territoire syrien est annexée par les Israéliens. Pour ces deux raisons au moins, la Syrie est toujours apparue comme réticente à des solutions de compromis avec Isra?l. Donc la Syrie a toujours incarné la résistance vis-à-vis du projet israélien.

En même temps, la Turquie ne peut éviter de critiquer la répression telle qu'elle s'est développée ces derniers jours en Syrie. Donc la Turquie se trouve dans une position inconfortable, c'est le moins qu'on puisse dire. La Turquie n'aime pas que l'instabilité s'installe à ses frontières. Et en même temps, le statu quo tel qu'il existe depuis plusieurs années n'est plus tout à fait possible. Donc la Turquie n'est pas aujourd'hui dans la situation où elle puisse agir positivement pour tenter de faire baisser la répression en Syrie.

Didier Billion : Les Etats-Unis, pour les raisons que nous venons d'évoquer,chaussures tods hommes5cZ6todstods handbags outlet, sont très gênés. Le président Obama a déclaré il y a quarante-huit heures que l'attitude du régime syrien était intolérable,tod's chaussures femme, c'est le terme qu'il a utilisé. Mais au-delà de cette déclaration de principe, pour l'instant, les Etats-Unis, et le président Obama lui-même, n'ont pas été plus loin.

Une des raisons qui permettent de comprendre cette attitude frileuse de la part des Etats-Unis, c'est bien s?r la question israélienne. Car comme nous le disions précédemment, des sanctions ou des condamnations plus sévères de la Syrie pourraient entra?ner des réactions de la part des alliés de la Syrie, et ces alliés sont très anti-israéliens. Donc, dans le raisonnement des Etats-Unis, il y a la volonté de protéger Isra?l. N'oublions jamais qu'un des paramètres essentiels de la politique des Etats-Unis au Moyen-Orient, c'est toujours la protection de l'Etat d'Isra?l, et nous en avons une nouvelle preuve.
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